Oui patatras, j’aurais mieux fait de m’arrêter ailleurs sur cette autoroute normande.
Excusez-moi de vous donner un aperçu des lieux…mais il faut se dire que ça existe et quel message veut-on laisser aux femmes, hommes, enfants handicapés ? Qu’ils sont dans la …. ? Vous comprendrez le mot adéquat en regardant l’une des photos !
J’ai retrouvé dans mes archives une réaction que j’avais eu après une visite dans le monde du handicap faite par un candidat lors du deuxième tour qui désignerait le nouveau président de la République.
Le monde du handicap est plein d'embûches !
Visiter un hôpital pour aller à la rencontre du monde du handicap. Déjà là il ne faut pas avoir peur : tout seul devant un monde souvent oublié…. 1° bourde ….
Et devant un monde inconnu pour lui. Il ne faut en effet pas le connaître pour parler d'abord en termes de marchandises. (France inter 25 avril journal de 20 heures). Quel est donc son monde à lui ? 2° bourde.
Quelqu’un lui a alors donné un coup de coude dans les côtes, code signifiant qu'une grosse ‘sonnerie’ a été dite. Le candidat se reprend et dit : il y a aussi bien sûr les patients. 3° bourde.
Il ne connaît manifestement pas ce qu’est la patience et il n'a toujours pas employé les termes pourtant les plus simples devant ce monde fait tout simplement d'enfants, de femmes et d'hommes. 4° bourde.
Et cerise sur le gâteau : l'entourage du candidat demande indulgence parce que celui-ci n'avait pas été conseillé. 5° bourde. En effet s’il doit être conseillé pour parler à des femmes et des hommes en d’autres termes que ceux de la marchandise, on a grand intérêt à ce qu'il le soit (conseillé) de son lever à son coucher.
Quant à la candidate ça risque d’être encore plus rude puisqu’avec elle, des mondes vont carrément disparaître, particulièrement ceux qui ne sont pas comme notre monde à nous petits français. Il ne restera plus beaucoup d’hommes et de femmes sur terre !
Je ne voterai pas pour elle, c’est sûr mais nous sommes tombés bien bas pour ne plus avoir que ces deux choix là !
IL ETAIT UNE FOIS UN CRI lancé deux ou trois fois ; à la troisième fois chacun se demandait s’il allait y avoir une quatrième fois. Non que le cri empêchât de dormir mais il brouillait les infos en les dominant.
Le présentateur du JT, chemise blanche et cravate bleue sous une veste rouge racontait les événements du monde ; au ton de sa voix il était clair qu’ils ne le concernaient en rien et qu’il avait hâte de retrouver son verre de whisky dans sa maison qui dominait la ville.
Le présentateur ne tentait pas de couvrir le cri. Il était habitué à la misère du monde. Tout le monde s’affolait autour de lui mais lui restait digne. Il y eut des pas précipités pour réprimer le cri. Mais le cri était malin, il bougeait sans arrêt. Comme si le cri était partout.
Et puis les téléspectateurs n’entendirent plus le cri, ils le virent.
C’était un cri désarmé, triste, sans espoir. Comme la femme qui poussait ce cri avec ses deux enfants accrochés à sa robe ample. Ils étaient perdus dans cet univers qui racontait le monde.
La femme venait de Syrie, du Yémen, d’Afghanistan, d’Irak, de Libye, du Mali, de Somali, du Soudan du Sud, du Yémen, du Cachemire, de Palestine, des Philippines, du Pakistan, de République Centre Africaine, de République démocratique du Congo, du Soudan…
De partout venait le cri de la femme.
Il était une fois des millions de cris…
De tous pays où la femme n’a plus d’avenir.
La femme était porteuse du cri de toutes ces femmes.
Aux infos, les bouchons dus aux vacances, les imbécilités de Trump, les petites causeries de Macron, tout était devenu dérisoire et ne pouvait couvrir le cri.
Si la femme n’a plus d’avenir, la terre n’a plus d’avenir. Les hommes qui disent aimer les femmes et les violent et les tuent, signent leur fin.
Le présentateur n’avait toujours pas compris et continuait ses boniments à des gens qui n’entendaient plus que la femme. Le rédacteur en chef vint sur le plateau pour lui dire d’arrêter. Tout le monde avait fermé son poste et ne l’écoutait plus.
Et les gens tout surpris de se rencontrer dehors, disaient :
Vous avez entendu le cri de cette femme ? d’où est-elle ?
De partout et surtout des pays en guerre et des pays sans liberté si j’ai bien compris.
Que peut-on faire ?
Enfin LA question !
Si nous nous posions cette question ensemble, certainement que nous saurions y répondre
Un abonné à la revue de l’APF « Faire Face » (revue sous-titrée : ‘Mieux vivre le handicap’ ), cet abonné donc, écrit au journal parut en juillet-août 2019 :
Titre donné par le journal : AAH en couple : le ‘malheur’ d’avoir une vie affective’
« Ainsi, le gouvernement persiste et signe, fidèle à la feuille de route dictée par le président de la République. Nos politiciens du gouvernement, à grands coups médiatiques, de discours toujours plus technocrates, tentent de nous faire croire qu’en restant sur leurs positions et dans la fermeté, ce ne sera que justice sociale basée sur une politique familiale. Et madame Cluzel de marteler : ‘le projet du gouvernement c’est de reconnaitre dans les citoyens en condition de handicap des citoyens à part entière.’ Balivernes ! La réalité : nous sommes des citoyens mis à part.
Minima sociaux, minima pour survivre pour citoyens handicapés qui n’ont pas demandé à l’être. Pire encore : minima amputés si une personne handicapée a le ‘malheur’, en plus de son handicap, d’avoir une vie affective, un.e conjoint.e (….). Handicap auquel s’ajoute une dépendance accrue (le handicap en lui-même n’est pas suffisant) envers le bon vouloir d’un.e conjoint.e, qui peut à tout moment et comme bon lui semble, décider de participer financièrement ou pas à la vie du couple.
Et qu’on ne me parle pas des lois qui ‘obligent’ (l’Etat et conjoint.e pour le logement et les ressources). Tout cela n’est que théorie textuelle récitée à longueur de temps par nos politiques. La réalité est hélas tout autre (...)
Une idée nouvelle suggérée à nos politiciens en mal d’idées : parquer les citoyens handicapés dans un zoo et faire payer l’entrée. Cela rapporterait… (humour) »
Que signifie "PF" sur les corbillards en Alsace ? Pon Foyage !
Quels sont les 2 avantages de la maladie d'Alzheimer ? - Vous n'avez jamais aucun mauvais souvenir
- Vous avez tous les jours de nouveaux amis
Ou se trouvent en général les tétraplégiques ? - A l'endroit où on les laisse
La petite retraitée
Une dame décide de s'offrir un beau cadeau pour ses 75 ans en passant une nuit dans un magnifique hôtel.
Au moment de payer le lendemain matin au départ, l'employé au comptoir lui tend une note pour 250€. Elle demande alors pourquoi c'est si cher ..
-"Je suis bien d'accord que c'est un bel hôtel, mais franchement ça ne valait pas 250 € pour juste une nuit,et en plus, je n'ai pas pris de petit déjeuner !"
L'employé lui répond que 250€, c'est le prix standard,
que le petit déjeuner était compris et qu'elle aurait pu le prendre.
Elle demande alors à parler au directeur.
Celui-ci arrive à la réception et, déjà prévenu par l'employé, lui annonce :
-"Madame, cet hôtel a une piscine de taille olympique
et un centre de conférences tout équipé,
cela fait partie de notre standing''.
- Mais je ne les ai pas utilisés", dit-elle
-"Peut-être, mais c'était là et vous pouviez les utiliser".
Il continue en expliquant que l'hôtel a aussi un spectacle très
connu chaque soir et qu'elle aurait pu y assister
- Mais je n'y suis pas allée, insiste-t-elle.
Après chaque service que le directeur de l'hôtel lui détaille,
elle répond qu'elle n'en a pas profité.
Mais le directeur a toujours réponse à tout.
Au bout d'un moment, elle se décide enfin et fait un chèque de ... 50€,
qu'elle tend au directeur.
Celui-ci, surpris en voyant le chèque, lui dit :
Mais Madame, votre chèque est de 50€ !
- C'est vrai, mais je vous ai facturé 200€ pour avoir couché avec moi.
- Mais madame, je n'ai pas couché avec vous ! s'exclame le directeur.
Ah c'est bien dommage, j'étais là, et vous auriez pu en profiter !"
Faut quand même pas se moquer du troisième âge !
On ne s'en lasse pas : Mais rassurez-vous ils en ont autant à notre égard .
Vivent les belges !!
1 - Un belge entre dans une pharmacie et demande :
- Avez-vous des lunettes ?
> > > - Pour le soleil ?
> > > - Non non, pour moi !
2- C'est un Belge qui sort de chez le médecin :
- Zut, je ne me rappelle plus si le docteur m'a dit capricorne ou balance. Je vais être obligé de retourner le voir., vous m'avez dit capricorne ou balance ?
> > > - Le médecin répond :
> > > - Cancer monsieur, cancer.
3- Deux belges regardent la lune et l'un intrigué demande :
-Tu crois qu'il y a de la vie là-haut ?
> > > - Evidemment puisqu'il y a de la lumière !
4- Un belge est sur l'autoroute en train de pousser avec grand peine une superbe Porsche 911.
> > Un motard de la police l'aperçoit et lui propose son aide :
> > > - Bonjour, vous êtes en panne ?
> > - Non, non, tout va bien, elle est toute neuve ! - Alors, pourquoi vous poussez votre voiture comme ça ?
> > - C'est le concessionnaire, il m'a dit : 50 en ville maximum et toutes les semaines, vous la poussez un peu sur l'autoroute.
5- Un belge se rend chez son médecin. Après l'avoir ausculté, et au vu de diverses analyses, le médecin, ennuyé, lui déclare :
- Écoutez, je vais être franc : vous souffrez d'une blennorragie.
- Blennorragie ? Qu'est-ce que c'est ?
> > - Eh bien... ça vient du grec.
> > - Ah, le salaud ! J'aurais dû m'en douter !
6- Un patron Flamand à sa secrétaire :
> > - Madame, vous avez fait vingt fautes dans cette lettre.
> > - Vous ne l'avez pas relue ?
> > - Je n'ai pas osé..
> > - Et pourquoi donc ?
> > - C'est écrit « Confidentiel » en haut à gauche.
7- Un Flamand voulait vendre sa vieille voiture, mais il avait beaucoup de difficultés, car sa voiture avait 250000 Km au compteur.
Après maintes réflexions, il décide de demander conseil à un bon ami qui lui dit :- Es-tu prêt à faire quelque chose d'illégal ?
> > - Oui, je veux la vendre à tout prix.
> > - Tu vas aller voir mon ami Tony qui est mécanicien. Il va mettre ton compteur à 50 000 km.
> > Plus tard, l'ami demande au Belge :
> > - As-tu vendu ton auto ?
> > - Es-tu fou ! Maintenant qu'elle a 50 000 Km, je la garde !
8- Un belge et un Français marchent dans la rue. Soudain, le Belge dit au Français :
Regarde là-bas, il y a des chevals !
> > Le Français lui répond :
> > - Ce ne sont pas des CHEVALS, mais des CHEVAUX !
> > Le Belge réplique:
> > - Ah, mais avoue que ça ressemble drôlement à des chevals !
> > 9- La religieuse :
> > Une religieuse prend un taxi à Hazebrouck et constate que le beau chauffeur belge n'arrête pas de la regarder.
Elle lui demande pourquoi il la regarde si intensément.
Il répond : "j'ai une question à vous poser, mais je ne voudrais pas vous offenser."
Elle répond "Mon fils, tu ne peux pas m'offenser. Quand tu auras mon âge et auras été une religieuse aussi longtemps que je l'ai été, tu auras vu et entendu à peu près tout.
Je suis certaine que rien de ce que tu pourrais me dire ou me demander ne serait une offense."
"Eh bien, j'ai toujours eu le fantasme qu'une religieuse me donne un baiser."
> > > Elle répond : "Eh bien, nous allons voir ce que nous pouvons faire.
Premièrement vous devez être célibataire et deuxièmement vous devez être catholique."
Le chauffeur du taxi est très excité et dit : "Oui, je suis célibataire et je suis catholique !"
"O.K." dit la religieuse, "Tournez dans la prochaine contre-allée."
> > > > > > > La religieuse comble son fantasme avec un baiser à faire rougir une prostituée.
Alors qu'ils reprennent leur route, le chauffeur commence à pleurer.
"Mon cher enfant", dit la religieuse, pourquoi pleures-tu ?
"Pardonnez-moi d'avoir péché. Je dois confesser que j'ai menti, je suis marié et je suis juif."
La religieuse dit:
"Ne vous en faites pas. Je m'appelle Alfonse et je vais au carnaval de Dunkerque."
Mamie et ses petits enfants. Histoire sans parole quoique ...
Je vais à Lille pour ma prothèse. J’aime bien le nom de l’hôpital, il donne envie de danser, de swinguer ! Il s’appelle en effet ‘Swynghedauw. Un mot qui ne peut se dire qu’en chantant. Pourtant quand j’arrive ça swingue peu car 80% des présents sont amputés d’une ou deux jambes….
Petite altercation lors de la dernière visite entre le toubib qui travaille avec le prothésiste et moi.
J’ai toujours une petite plaie sur mon moignon et c’est là-dessus que le toubib m’a pris à partie.
Êtes-vous allés voir la dermatologue depuis notre dernière rencontre ?
Non, pourquoi, ai-je répondu, candide.
Mais pour qu’elle mette fin à ce problème de plaie.
Je me permets de sourire pour dire :
Ça fait des années que j’ai cette plaie, le médecin traitant m’a même dit que je mourrai avec. La dermatologue, je l’ai vue je ne sais combien de fois. Elle a tout essayé : des pommades diverses, une pommade maison, des pansements de toutes les formes, deux greffes de peau… que peut-elle faire de plus ?
Vous devez aller la voir, insiste le toubib.
Je sais déjà ce qu’elle va faire : un peu de pommade, un pansement et ‘au revoir monsieur’
Qui fait vos pansements chez vous ? s’informe le toubib qui cherche une sortie.
C’est moi.
Le toubib fait silence, me regarde avec des yeux désolés et déclare :
Eh bien voilà ! c’est votre faute cette plaie ! Vous faites ça mal et les microbes s’en donnent à cœur joie.
Eh bien voilà ! vous avez trouvé le coupable. C’est ma faute, ma très grande faute ! Vous rigolez ou quoi ? Je fais comme l’infirmière m’a appris et je pense ne pas être plus bête qu’un autre. Avec vous c’est toujours la faute du malade s’il est malade : il a fait ceci, pas cela, il vivait mal, se nourrissait mal… Vous, vous êtes de simples spectateurs.
Le toubib tendit la main pour me calmer en rajoutant :
Je n’ai pas dit que c’était votre faute mais que c’était une possibilité.
Oui bien sûr, mais il y a d’autres possibilités aussi.
Le toubib préféra arrêter là le dialogue.
Ces toubibs sont tous les mêmes. Ils ne peuvent avoir tort parce que, eux, ils savent. Ils ont horreur d’être remis en cause et n’admette pas que le malade réagisse en donnant son point de vue surtout lorsqu’il est différent !
Mardi dernier (11 juin 2019) j’ai regardé sur Arte deux reportages sur les Etats-Unis. L’un sur les armes qui tuent des jeunes, l’autre sur l’ultra droite qui ne jure que par la race blanche.
Tristes Etats Unis… oui et non. Beaucoup, en particulier des jeunes, s’opposent à ces armes et à cette idéologie et malheureusement armes et race blanche se marient bien ensemble.
Quelques phrases et quelques actions parmi d’autres.
Un jeune Etats-Unien a dit :
Si les élus ne changent pas, nous changerons d’élus.
Une phrase universelle ! valable dans tous les pays !
Et les jeunes s’inscrivent en grand nombre sur les listes électorales pour que comptent leurs voix.
En un an, il y a eu 600 morts par arme à feu dans ce grand pays (au moins par la surface) et cerise sur le gâteau, les Blancs qui se prennent pour les meilleurs, les plus beaux, les plus dignes à habiter le pays dénoncent les Afro-Américains qui seraient responsables de cet état de fait… Ce sont pourtant bien les Blancs qui ont le plus d’armes.
Des témoins des tueries dans les écoles, collèges, universités disent que la plupart d’entre eux n’ont pas les moyens de se payer une thérapie pour soigner leur esprit.
La police et les politiques en place ne s’occupent d’une tuerie que s’il y a de nombreux morts et surtout si les journaux en parlent. Malgré tout cela, la personne interviewée affirmait que personne ne devait se laisser abattre par le chagrin.
Un grand pays ces Etats-Unis, grâce à ses jeunes.
Les journalistes ont voulu avoir l’avis de toutes les parties mais la NRA, lobby des armes, a refusé de répondre aux questions. Leur marché est basé sur la peur ; ils viennent de sortir une nouvelle génération d’armes où sont intégrés des silencieux ce qui permet aux marchands d’armes de renouveler le stock de celles et ceux qui achètent. Pourquoi un silencieux ? un interviewé a répondu :
C’est pour ne pas gêner les voisins.
Ce n’est pas beau quelqu’un qui prend soin de ses voisins et est prêt à tirer ‘silencieusement’ sur quelqu’un parce ce qu’il est différent de lui ?!
la NRA va jusqu’à sortir des armes roses pour les filles. Des ados en effet possèdent des armes avec la bénédiction de leurs parents.
Des sacs à dos nouveaux pour les écoliers ont été fabriqués. Ils ont sur la partie qui porte sur le dos, une toile pare-balle…
Quelqu’un disait qu’il devrait être interdit au moins les armes qui sont les mêmes que celles des militaires dont ils se servent pour se battre ou se défendre en Syrie, Irak etc.
Après cette enquête qui fait froid dans le dos, une autre suivait, pas moins glaciale
Cette deuxième enquête était intitulée :
« Guerre des races aux USA, »
La guerre des races est bien ce qui motivent ces blanches et blancs fiers d’être à l’ultra droite.
A Charlottesville, il n’y a pas longtemps, deux manifestations se sont opposées : celle des noirs et celle des blancs (c’est ce qui fait le plus souvent la distinction entre les hommes et femmes aux Etats-Unis) Une voiture, en marche arrière, est entrée dans la foule des Noirs. Une femme a été tuée et il y a eu de nombreux blessés graves.
Comme disait quelqu’un lors de cette enquête :
Un pays où certains appellent à cogner untel parce qu’il est noir, est un pays corrompu.
Ces blancs prétendent être non seulement blanc mais encore posséder en eux l’âme de l’Europe d’où ils viennent… L’un de leurs buts est de créer un Etat blanc aux USA comme, Israël est un sanctuaire pour les Juifs.
Pour les journalistes, il est clair qu’il y a une forte montée du racisme et qui s’exprime sans complexe depuis que Trump est président des Etats-Unis. Les Blancs se sentent compris et soutenus. Rappelons-nous que Trump a eu un mal fou (il lui a fallu deux conférences de presse) pour reconnaitre la responsabilité des Blancs dans la tuerie de Charlottesville. Ces Blancs sont revenus dans la ville quelques jours plus tard pour défiler et crier leur droit à chasser les Noirs. L’élection de Trump a été une secousse significative pour les ultra-droites
Toujours à Charlottesville, un obélisque a été dressée il y a quelques deux cents ans pour honorer la mémoire de trois Blancs qui avaient tué 150 Noirs.
Cette ultra-droite est persuadée que les Noirs veulent faire disparaitre la race blanche comme elle dit et se prépare donc à une guerre raciale.
C’est la race humaine qui est en danger, la démocratie, la vie ensemble, la Paix…