A tous mes amis des C.A.T. écrit après le licenciement de l’un d’eux.
« Monsieur, vous ne faites pas l’affaire.
C’est un atelier que je gère !
Pas une garderie !
Je dois faire le tri.
Vous travaillez trop lentement,
Ici, il ne s’agit pas de bosser gaiement.
Vous êtes un professionnel,
Pas un être frêle.
Vous avez signé un contrat signé dûment… »
« Pourquoi n’ai-je pas un double de cet arrangement ? »
« Il est confidentiel, comme une loi
Qui nous lie secrètement vous et moi.
Vous ne devez en parler sous aucun prétexte,
Vous ne pouvez donc avoir ce texte.
Notre contrat stipule un rendement,
Obligatoire et tenu régulièrement.
Ce n’est pas votre prestation
Salutation. »
Conversation réelle
Qui devient irréelle
Lorsque vous saurez
A eu lieu dans un C.A.T.
Atelier inventé
Pour des personnes handicapées
A l’esprit et aux gestes pipés.
Où pourront-ils donc travailler
Ceux qui ont la malchance d’avoir un cops mal taillé ?